Nous sommes toujours dans la série d’email “Découverte 2021”. Ici, je te partage en vrac ce que j’ai lu / vu / écouté de plus intéressant cette année et, que tu pourrais regarder à ton tour.
C’est parti !
Je t’ai déjà parlé de la zone grise du consentement. Celle où on dit “oui” et on pense “non”.
Mais, même lorsqu’on arrive à dire “non”, qu’on s’affranchit de la peur de blesser, de passer pour “meuf qui a envoyé plein de signaux positifs et qui finit par dire non” ou du risque d’être agressée.
Nous ne sommes pas toujours écoutées.
J’aime cette publication Instagram, car elle montre bien le genre de phrases auxquelles nous sommes confrontées après un “non”
On devrait plus enseigner à respecter un non plutôt que de se dire qu’on doit apprendre à dire “non”.
A bientôt avec le :D
Nina
C'est tout à fait vrai... Et c'est peut être encore plus dur que de dire non. Quand ma fille me refuse un câlin, quand mon fils refuse de m'accompagner faire les courses, ... Et tant d'autres situations ! Ce sont eux qui me remettent à ma place, et je suis tellement fière qu'ils soient meilleurs que moi. Parce que mon "non" n'était pas respecté quand j'étais petite, j'ai mis longtemps à ne pas voir qu un homme devait le respecter plus tard. J'ai trouvé naturel qu ils insistent. J'étais presque vexée d'ailleurs s'ils n insistaient pas... Tellement habituée à ce que mon envie ne compte pas, j'ai été déstabilisée, et me réapproprier le non, comme le oui !
Et maintenant, j'apprends à respecter les envies de mes enfants, ce n'est pas"facile", mais en échange, j'ai des enfants qui écoutent aussi mes envies, et respectent mes refus également (tout comme leur père)