L’écrasante majorité de celles à qui j’en ai parlé l’ont déjà vécu. Ce moment où l’autre te propose un acte sexuel, dont tu n’as pas envie, mais, tu ne dis pas “non”. En général, ces situations se finissent de 3 manières : Soit nous arrivons à trouver le moyen de sortir en douceur. Un prétexte, une blague sympa ou décaler gentiment sa main. Pour ne pas sortir le ”
Nommer les choses, c'est leur conférer une réalité et "mal nommer, c'est rajouter au malheur du monde". Nommer, c'est extraire de l'invisible et faire naître au monde une proposition, une construction, une représentation.
Cette lettre de toi m'a touchée en plein cœur. Comment agir dans ces situations ? Et surtout, comment sortir du silence ? J'ai 35 ans et jusqu'à aujourd'hui je n'ai pu en parler qu'une fois, avec une femme, de manière fertile et sans tabous.
Merci à toi Nina pour cet acte engagé qui favorise l'auto-émancipation, l'auto-détermination et l'auto-responsabilisation de soi dans sa voix, voie ☀️🕊️💚
Tellement vrai. Je trouve ça vraiment intéressant ce que tu dis sur le fait de nommer les choses : tout à coup, elles ont une existence + concrète et c'est + simple d'en parler. Alors qu'on a tendance à mettre un mouchoir dessus habituellement... avoir les mots, c'est aussi se donner la possibilité d'en parler à nos filles, pour qu'elles puissent éviter ça.
Nommer les choses, c'est leur conférer une réalité et "mal nommer, c'est rajouter au malheur du monde". Nommer, c'est extraire de l'invisible et faire naître au monde une proposition, une construction, une représentation.
Cette lettre de toi m'a touchée en plein cœur. Comment agir dans ces situations ? Et surtout, comment sortir du silence ? J'ai 35 ans et jusqu'à aujourd'hui je n'ai pu en parler qu'une fois, avec une femme, de manière fertile et sans tabous.
Merci à toi Nina pour cet acte engagé qui favorise l'auto-émancipation, l'auto-détermination et l'auto-responsabilisation de soi dans sa voix, voie ☀️🕊️💚
Tellement vrai. Je trouve ça vraiment intéressant ce que tu dis sur le fait de nommer les choses : tout à coup, elles ont une existence + concrète et c'est + simple d'en parler. Alors qu'on a tendance à mettre un mouchoir dessus habituellement... avoir les mots, c'est aussi se donner la possibilité d'en parler à nos filles, pour qu'elles puissent éviter ça.